Qu’est-ce qu’un pari handicap ? Fonctionnement & conseils

Sommaire

Les paris sportifs à handicap existent depuis plusieurs années en France, depuis le « Cote & Match » de la FDJ, ancêtre de ParionsSport. On pouvait, à l’époque, jouer sur des paris à handicap mais seulement en bureau de tabac. Non, il n’est pas question de Jeux Paralympiques ni de fauteuil roulant !

L’ARJEL (Autorité de Régulation des Jeux en Ligne) a autorisé ces paris à écart depuis une dizaine d’années et depuis 2010, on peut jouer (en ligne ou au tabac) sur ces paris par comme les autres. Unibet, Winamax, Bwin, Netbet, Betclic ou encore vBet : tous les bookmakers et sites de paris sportifs proposent aujourd’hui des paris avec handicap, car les parieurs apprécient fortement ce type de pari.

Le pari avec handicap est très utilisé au basket, au rugby ou encore au football. Le handicap est censé « rééquilibrer » la rencontre, offrant ainsi des cotes intéressantes, bien différentes du pari 1N2. Cela vous semble compliqué et pas très clair ? Lisez la suite, et tout va s’éclairer

Un pari emprunté au monde du turf

En fait, ce type de pari a été emprunté au monde hippique. En effet, au turf, on utilise les handicaps pour égaliser les chances des concurrents. Un ou plusieurs chevaux sont largement meilleurs que les autres ? Alors on leur impose de porter une charge plus lourde afin de niveler le niveau, et pour que chaque partant ait ses chances.

Vous allez me dire : mais on ne va pas faire porter une charge plus lourde à un footballeur, désavantager un joueur de basketball ou ralentir un ailier au rugby ! Non, bien sûr que non.

Dans les paris sportifs, le handicap n’est pas perceptible sur le terrain : il est seulement question de pari à handicap.
C’est donc au moment de valider votre ticket que vous aller avoir affaire au handicap.
Celui-ci n’aura aucune réalité concrète sur le terrain pour les joueurs ou athlètes. 

Pari handicap : comment ça marche ?

Dans les faits, le pari handicap permet de rééquilibrer une rencontre apparemment déséquilibrée. Prenons un exemple clair, lors d’un match de Coupe de France de football :

GSI Pontivy – PSG

Le club de Pontivy est un pensionnaire de Nationale 3, quand le PSG est actuellement l’équipe la mieux armée en Ligue 1.

Neymar à Pontivy !
Photo Nicolas Creach / Le Télégramme.

Le rapport de force semble clairement en faveur de la deuxième équipée citée, et les cotes sont claires :

Victoire du GSI Pontivy : 15
Match nul : 7,50
Victoire du PSG : 1,15

Pour le bookmaker, la victoire du PSG semble très probable. Sportivement, c’est très clair !

D’un point de vue pronostic, comment rééquilibrer la rencontre, puisque on ne peut pas « alourdir » le favori pour aider l’outsider, comme on le ferait pour les paris hippiques ?

On le voit : la cote de la victoire du PSG est très faible. Comment parvenir à l’augmenter ? C’est là que le pari handicap intervient. Le bookmaker me propose en effet un handicap négatif en défaveur du PSG :

PSG -1 (Paris gagne par au moins deux buts d’écart) : 1,40
PSG -2 (Paris gagne par au moins trois buts d’écart) : 1,85

Les deux paris à handicap ci-dessus me permettent de jouer non seulement sur la victoire de Paris, mais aussi sur le nombre de buts d’écart. Si je pense que Paris peut gagner la rencontre avec une belle marge, alors le pari handicap est une bonne affaire.


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A l’inverse, si je pense que le GSI Pontivy va donner du fil à retordre au PSG, je peux aussi me pencher sur les cotes à handicap du petit poucet. Cette fois-ci, le handicap sera positif pour Pontivy :

GSI Pontivy +1 (Match nul ou Pontivy gagne) : 7,50
GSI Pontivy +2 (Match nul, Pontivy gagne ou Paris gagne par 1 but d’écart max) : 4,20
GSI Pontivy +3 (Match nul, Pontivy gagne ou Paris gagne par 2 buts d’écart max) : 2,90

Cela vous semble un peu plus clair ?

Regardons la ligne « GSI Pontivy +1 » et mettons-la en situation.

Si le PSG gagne 1-0 et que j’ai parié sur GSI Pontivy +1, j’ai perdu. GSI Pontivy +1 aurait été un pronostic juste s’il y avait eu match nul à la fin du temps réglementaire ou si Pontivy avait gagné.

Ainsi, s’il y a 2-2 à la fin du temps réglementaire, Pontivy ayant un handicap positif de +1, mon pari est correct, car le résultat modifié par le handicap est 3 [2+1] pour Pontivy, et 2 pour le PSG.

Regardons maintenant la ligne GSI Pontivy +3 : cela veut dire qu’en jouant ce bet, Pontivy a 3 buts d’avance au début du match. Du fait, si Paris gagne par seulement 2 buts d’écart, le pari est valide :

Résultat final :

Pontivy : 0
PSG : 2

Résultat final avec handicap (GSI Pontivy +3) :

Pontivy : 3
PSG : 2

Vous le voyez : le pari à handicap permet de jouer sur l’écart d’une rencontre, et plus seulement sur le seul résultat.

Ce qui vous ouvre tout un horizon de possibilités au football, mais aussi et surtout dans les sports « à écart » comme le basket, le rugby ou encore le hockey sur glace.

Les paris handicaps sur Parions Sport

Si vous avez bien suivi l’exemple précédent, vous devriez parvenir à « lire » plus aisément les handicaps. Voici comment ParionsSport inscrit les handicaps au sein de ces listes de paris :

Pari handicap sur ParionsSport

Sur ce match de D1 Biélorusse, les pari n°031, n°025 et n°049 sont à handicap.

Voici comment ces paris doivent être interprétés :

Pari 031

L’équipe 1 (FC Slutsk) gagne par plus d’un but d’écart = [1], coté à 4
L’équipe 1 gagne par un but d’écart exactement = [N], coté à 3,20
L’équipe 1 ne gagne pas ou fait match nul = [2], coté à 1,55

Pari 025

L’équipe 1 fait match nul ou gagne = [1], coté à 1,24
L’équipe 2 (FC Vitebsk) gagne par un but d’écart exactement = [N], coté à 3,95
L’équipe 2 gagne par plus d’un but d’écart = [2], coté à 6,75

Pari 049

L’équipe 1 gagne par plus de deux buts d’écart = [1], coté à 8,25
L’équipe 1 gagne par exactement deux buts d’écart = [N], coté à 4,90
L’équipe 2 gagne, fait match nul ou perd par 1 but d’écart max = [2], coté à 1,14

Exemple d’un pari handicap/écart au basket

Le football permet les paris à handicap, mais ceux-ci sont beaucoup plus familiers dans les sports où les écarts peuvent s’avérer très importants, par exemple au basketball.

Voilà un sport où les cotes 1N2 sont parfois très faibles, notamment quand un favori rencontre une équipe mal classée ou en méforme :

Exemple d'un match de basket NBA (pari sportif)

Toronto est en pleine forme, en route pour les Play-Offs, quand les Hornets de Charlotte font une saison calamiteuse, enchaînant les défaites.

Mais est-il vraiment judicieux de parier 10€ sur la victoire de Toronto avec une cote de 1,06 ?

Le rapport risque / bénéfices potentiels est peu intéressant : 10€ risqués pour 0,6€ de bénéfice… Quand on connaît un peu le monde du sport et qu’on se méfie des évidences, assurément, ce match présente peu d’intérêt à première vue.

Mais avec le handicap, on peut espérer modifier cette cote et trouver un pari digne d’intérêt :

Toronto -4 (Toronto gagne par au moins 5 points d’écart) : 1,30
Toronto -11 (Toronto gagne par au moins 12 points d’écart) : 1,80
Toronto -19 (Toronto gagne par au moins 20 points d’écart) : 2,60

Bien sûr, si l’on considère que Charlotte va accrocher Toronto (mais que la victoire de Charlotte paraît tout de même peu probable), alors on peut se tourner vers les handicaps positifs en faveur de Charlotte :

Charlotte +20 (Charlotte gagne, match nul ou Charlotte perd par 19 points ou moins) : 1,30
Charlotte +12 (Charlotte gagne, match nul ou Charlotte perd par 11 points ou moins) : 1,80
Charlotte +5 (Charlotte gagne, match nul ou Charlotte perd par 4 points ou moins) : 2,60

Remarquons au passage que les cotes suivent une logique claire :

  • Plus le favori a un petit handicap négatif, et plus la cote est basse / Plus l’outsider a un gros handicap positif, et plus la cote est basse
  • Plus le favori a un gros handicap négatif, et plus la cote est haute / Plus l’outsider a un petit handicap positif, et plus la cote est haute

N’oubliez pas que, généralement, les joueurs n’ont absolument aucun intérêt à « dépasser » ce genre de handicap, 100% fictif pour eux. Une victoire étriquée est une victoire, rien d’autre. Ils se moquent de l’écart dans 90% des cas ! 

Les handicaps sans possibilité de match nul

A l’inverse du football, les matchs de basket & de rugby peuvent être proposés sous la forme de pari handicap sans match nul possible. Il s’agit donc d’un type de pari où vous pariez sur un écart minimum/maximum. Un exemple sur le match de rugby suivant :

Lyon LOU – Section Palois

Les paris proposés en handicap (sans match nul possible) sont les suivants :

  • Lyon LOU gagne par au moins 18 points d’écart : OUI à 2,25 / NON à 1,37
  • Lyon LOU gagne par au moins 11 points d’écart : OUI à 1,77 / NON à 1,72
  • Lyon LOU gagne par au moins 6 points d’écart : OUI à 1,34 / NON à 2,25

On ne nous propose pas ici de jouer sur un handicap exact, mais sur un écart plus ou moins élevé. D’ailleurs, il est très difficile voire impossible de pronostiquer avec succès un handicap exact sur des sports comme le basket ou le rugby : dire que le LOU va gagner de 9 points exactement, ou encore que Toronto gagnera avec 7 points d’avance sur Charlotte en NBA, cela tient plus du miracle que du pronostic !

Pari handicap : comment bien les utiliser ?

Reste à savoir comment tirer le maximum du potentiel des paris avec handicap. Il faut dire que les pronostics sur ce type de pari sportif diffèrent des paris 1X2, et peuvent s’avérer plus complexe.

Voici donc mes conseils pour cerner les mécanismes du pari handicap et pour en tirer une rentabilité maximale.


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Matchs, compétitions et sports : quel est le choix le plus pertinent ?

La première question à se poser est la suivante : quel sport ou compétition me semble la plus intéressante par rapport à cette notion de handicap ?

Pour moi qui suis un parieur féru de basketball, je choisis immédiatement ce sport. J’ai acquis une expertise bien supérieure à tous les autres sports. Reste à savoir vers quel championnat se tourner.

Il y a bien sûr la NBA : beaucoup de matchs en saison régulière, souvent des gros scores et pas mal d’écarts… Mais la NBA, c’est aussi les blowouts (autrement dit… des branlées) infligées par une équipe à une autre, parce que l’une passe à côté de son match ou que le rythme des matchs « on the road » n’est pas toujours tenable.
Du reste, chaque équipe possède au moins un joueur qui peut faire basculer le match s’il prend feu. Pour moi, la NBA est propice à de nombreux types de paris, mais pas forcément aux paris avec handicap (du moins pas toutes les nuits !).

Reste donc le championnat de France de Pro A, la JeepElite, que je connais plutôt bien. Ici, les handicaps ne sont pas forcément très élevés, car le niveau est homogène, à l’exception de 2 ou 3 favoris au-dessus du lot.

Certaines « petites » équipes m’intéressent beaucoup, leur effectif n’est pas aussi étoffé que les favoris, mais elles sont capables d’aller accrocher n’importe quel gros bonnet, même lors d’un déplacement loin de leurs bases. Je vais donc surveiller de près les handicaps positifs proposés sur celles-ci, je sais qu’un ou deux paniers suffisent à faire basculer une rencontre !

Ce premier travail me permet de « dégrossir » les possibilités de handicap et de me concentrer sur des événements sportifs où mon expertise est suffisante, compétitions sur lesquelles je considère que le handicap peut être une aubaine de façon ponctuelle.

Dans mon cas, vous voyez que je vais un peu plus loin et que je ne décide de « pister » que quelques équipes, tout simplement parce que je préfère avoir un degré de connaissance élevé sur peu d’équipes qu’une expérience diffuse sur un grand nombre d’équipes ! C’est un choix personnel, vous pouvez tout à fait procéder autrement. Pour ma part, je conçois difficilement de parier sur telle équipe ou contre telle équipe lorsque je ne l’ai jamais vu jouer… 

Handicaps à la mi-temps : parfois une bonne affaire

Dans mon cas il s’agit de basket, peut-être que dans le vôtre il s’agira plutôt d’une compétition de football… Dans tous les cas, un bon réflexe : regarder les handicaps proposés à la mi-temps d’un match.

Cela nous renseigne sur un rapport de force différent du 1N2 à la fin du temps réglementaire, aussi le handicap à la mi-temps est souvent digne d’intérêt lorsque l’on considère que la rencontre va être serrée.

Si l’on reprend mon avis sur les équipes outsiders à l’extérieur, le handicap mi-temps est particulièrement intéressant : je pense que certaines équipes vont être devant à la mi-temps, et que le favori de la rencontre fera un effort supplémentaire au troisième et quatrième quart-temps. Si mon outsider a un handicap positif de 5 ou 6 points à la mi-temps, peut-être que je vais plutôt parier sur ce résultat plutôt que sur un handicap final.

Pourquoi ? Parce qu’au basket, la décision se fait souvent dans le moneytime, au quatrième quart-temps, moment où les scoreurs prennent souvent les choses en main.

Cela vous servira également au football : un nombre très important de buts est marqué entre la 75ème et la 90ème minute. C’est souvent là que le score final se construit et que le vainqueur se dessine.

Vous pensez que telle ou telle équipe peut accrocher un résultat chez tel ou tel favori ? Regardez le handicap mi-temps, et posez-vous cette question :

  • L’équipe en question peut-elle être devant (ou faire match nul) à la mi-temps ?
  • Si ce n’est pas le cas, aura-t-elle les ressources pour revenir ?
  • Si ce n’est pas le cas, a-t-elle pour coutume de marquer en seconde mi-temps et de revenir à hauteur ? A-t-elle des remplaçants qui ont de grandes chances de changer le cours du match, par exemple un buteur « joker » très efficace à chaque entrée ?

La réponse à ces questions vous permettra de valider un handicap mi-temps ou de plutôt vous tourner vers un handicap sur le score final.  Plus vos questions sont nombreuses et précises, et mieux vous pourrez analyser la probabilité statistique et sportive que le match se termine par un certain écart de buts

Utiliser le handicap pour couvrir plusieurs possibilités

A la manière d’un pari double chance, le pari handicap permet également de couvrir ! En effet, lorsque vous jouez sur un handicap dit « positif », vous couvrez plusieurs possibilités.

Prenons l’exemple de ce match de foot :

Bulgarie – Irlande

Si je parie sur Bulgarie +1 ou Irlande +1, cela revient en fait à parier :

Bulgarie +1 : sur la victoire de la Bulgarie ou le match nul
Irlande +1 : sur la victoire de l’Irlande ou le match nul

Les bookmakers ne s’y trompent et proposent exactement les mêmes cotes pour ces paris, et c’est fort logique :

Pari double chance ou écart entre équipes : même pari !

Le pari handicap peut donc s’avérer un pari « couverture » intéressant pour gagner, mais il ne faudra pas forcément s’attendre à des cotes supérieures aux paris double chance.

Handicap et football : jouer sur des scores serrés

Vous l’aurez compris : le pari handicap, c’est donc jouer sur des écarts. Cela ne veut pas dire qu’on ne peut jouer que sur des gros écarts, bien au contraire !

En effet, les cotes du pari handicap +1 ou handicap-1 (c’est-à-dire l’équipe Y gagne d’un but exactement, ou l’équipe X perd d’un but exactement), sont particulièrement élevées. Regardez sur le match suivant :

Pari sur les écarts sur un match de foot serré

Ici, le bookmaker (Betclic) ne propose pas à proprement parler de pari handicap, mais on peut bien jouer sur les écarts – ce qui revient au même ! Les deux paris encadrés correspondent en fait à parier :

  • Sur un pari handicap avec Slovénie -1, sur le match nul.
  • Sur un pari handicap avec Grèce -1, sur le match nul.

Si je parie sur le nul avec un pari handicap Slovénie -1 et Grèce -1, cela revient à dire que je pense que l’une ou l’autre équipe va gagner avec un but d’avance exactement. On parle, en anglais, de « push », lorsque le pari tombe juste sur le handicap. Ce genre de stratégie est intéressante car il faut savoir que ce genre de résultat (un but d’écart exactement) intervient fréquemment au football.

Pour vous donner un exemple statistique, j’ai procédé à quelques tests sur le championnat de France de Ligue 1 : en fonction des saisons, c’est 35 à 42% des matchs qui se terminent par une victoire de l’une ou l’autre équipe par un but d’avance exactement.

Quand on voit les cotes proposées, cela laisse quand pas mal de possibilités. Voilà de quoi étudier d’un peu plus près, et sous un nouvel angle, les paris handicap/écart !

Que penser des combinés de plusieurs paris à handicap ?

Si vous lisez Parieur-Gagnant depuis un moment, alors vous le savez : je préfère jouer en simple plutôt qu’en combiné. Mon article sur les paris simples VS paris combinés montre parfaitement que les paris simples sont plus rentables, et que les gagnants sur le long terme privilégient ces paris.

Vous serez peut-être tenté d’augmenter rapidement votre bankroll en couplant plusieurs paris avec handicap. Pourquoi pas ? Si vous ne multipliez pas les matchs à outrance, vous pouvez toujours essayer de cumuler quelques rencontres sur un ticket. 2 ou 3 semblent un maximum à ne pas dépasser, sous peine de voir votre capital de départ fondre comme neige au soleil. 

Notons aussi qu’un ou plusieurs paris handicap peuvent tout à faire être utiles au sein d’un pari système/multiple, car les rencontres avec handicap bénéficient généralement de belles cotes.

Quel est le meilleur site pour les matchs à handicap ?

Il n’y a pas lieu ici de comparer un à un tous les sites de paris sportifs – un comparatif complet des différents bookmakers est en préparation.

Pour moi, c’est surtout une histoire de cote. Un conseil de base, à appliquer avant placer n’importe quel pari : comparez les cotes ! Sur une rencontre sportive donnée, qu’il s’agisse de foot ou de tout autre sport, vous devez faire le tour de tous les bookmakers pour rechercher la meilleure cote. C’est très important, surtout sur le long terme, si vous espérez gagner de l’argent.

Enfin, et si je devais conserver deux ou trois bookmakers sur lesquels les cotes handicap sont les plus élevées, je dirais que le trio de tête est le suivant : Winamax, Betclic, Unibet. Les cotes proposées sont généralement plus élevées que sur ParionsWeb, France-Pari ou encore Bwin (le dernier opérateur cité ne propose vraiment pas de bonnes cotes sur le football).


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